Le mouvement de protestation contre la loi Debré a eu au moins trois mérites. Mais Le débat est loin d’être clos... Il commence ?
« Le scaphandre et le papillon ». Pour ou contre les intellectuels ? Louis-René des Forêts, le silencieux. Foucault, éducateur.
Le fil conducteur du dernier essai de BHL se trouve dans l’amour pour la complexité, l’éloge du double, du multiple.
Comment Chevènement fonde sur le terrain de cette bonne vieille droite classique, toute sa récente prétention à un destin national ?
Merci aux « sans-papiers ». Pourquoi ils ne sont pas des clandestins. Réformer les lois Pasqua. Enfin le vrai débat. Renouer avec le génie français.
La dignité des « sans-papiers ». Entre Debré et Hue, rien ? Comment l’esprit vient aux lois. Qui sont les vrais clandestins ? Comment, sans capituler, « régulariser » les grévistes de la faim.
Les écrivains et le cinéma. Oui au boycott de l’Iran et de la Libye. Godard et la littérature. Proust et Joyce pouvaient-ils se rencontrer ? La dernière arme des Burundais. Michel Debré et Charlie Chaplin.
Onze balles pour Kelkal. Légitime défense ? Penser le terrorisme. Le temps du nihilisme.
Si on ignore, pour l'heure, ce qui s'est réellement dans la chambre du Sofitel de New York, la portée politique de l'événement interroge.
Le Conseil constitutionnel se discrédite en invalidant la loi visant à pénaliser la négation des génocides.
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